Vie indépendante, amours chaotiques, elle se projette dans le monde aux cotés du muraliste Diego Rivera qui est alors Directeur de la peinture à Bellas Artes. Elle l’épouse en 1929 et vivra avec lui, non sans heurts, jusqu’en 1940. Peinture et politique s’entremêlent : trotskiste, elle devient stalinienne, mais surtout s’affirme comme femme émancipée bien avant la naissance des mouvements féministes. Son infirmité génère une œuvre autobiographique qui se trouve parfois à la charnière du surréalisme qu’elle rejette avec raison : les christs, les ex-voto, les arbres de vie qu’elle peint renvoient davantage à l’art populaire et à la tradition mexicaine qu’au surréalisme. Elle présentera cependant des tableaux à la Grande Exposition Surréaliste Internationale de Paris car André Breton, ami du couple, affirme « que le surréalisme a atteint le Mexique ».
dimanche 5 juillet 2009
Rencontre avec Diégo Rivéra
Vie indépendante, amours chaotiques, elle se projette dans le monde aux cotés du muraliste Diego Rivera qui est alors Directeur de la peinture à Bellas Artes. Elle l’épouse en 1929 et vivra avec lui, non sans heurts, jusqu’en 1940. Peinture et politique s’entremêlent : trotskiste, elle devient stalinienne, mais surtout s’affirme comme femme émancipée bien avant la naissance des mouvements féministes. Son infirmité génère une œuvre autobiographique qui se trouve parfois à la charnière du surréalisme qu’elle rejette avec raison : les christs, les ex-voto, les arbres de vie qu’elle peint renvoient davantage à l’art populaire et à la tradition mexicaine qu’au surréalisme. Elle présentera cependant des tableaux à la Grande Exposition Surréaliste Internationale de Paris car André Breton, ami du couple, affirme « que le surréalisme a atteint le Mexique ».
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